Par rapport à l’ensemble des trois secteurs, la part du total des placements
représentée par des titres à revenu fixe/prêts représentés par un titre et des créances inscrites dans des livres de dettes publiques (tableau) ne s’est modifiée qu’insensiblement au cours de l’exercice (44.7% contre 44.8% pour l’exercice précédent). Dans cette mesure, cette catégorie de placements continue à être de loin la plus importante.
La deuxième catégorie de placements dans l’ordre d’importance, celle des actions
et des parts dans des fonds communs de placement/placements dans des sociétés
liées, participations et actions propres avec une part de 22.3% au total (22.3%
l’année précédente) est demeurée stable par rapport à l’ensemble des capitaux
placés.
Viennent ensuite, avec un écart relativement élevé, les catégories de placements
terrains et constructions/prêts hypothécaires, qui représentent ensemble tout de
même 11.8% (année précédente 12.7%) des capitaux placés.
Les autres catégories suivent dans l’ordre suivant: dépôts auprès des institutions d’assurance cédantes, dépôts à terme et autres placements, prêts sur polices, créances des affaires d’assurance et autres créances qui représentent entre 7.5% et 1.3% du total des placements de capitaux.
Globalement et pour l’ensemble des trois secteurs, les rendements ont été en recul,
à 3.52% contre 3.68% l’année dernière. Les revenus les plus importants
proviennent des terrains et constructions avec 6.21% (année précédente 6.26%),
suivis des titres à revenus fixes/prêts représentés par un titre et créances inscrites
dans des livres de dettes publiques avec 3.80% (année précédente 3.87%). Le
revenu plus faible que lors de la période précédente des placements dans des
sociétés liées, participations et actions propres/actions et parts dans des fonds
communs de placement de 3.14% (année précédente 3.37%) est dû
principalement à des paiements de dividendes dans l’ensemble en recul.