Au cours de la période sous revue, une part considérable des activités d’enforcement de la FINMA a concerné la lutte contre le blanchiment d’argent. Elle a procédé à des investigations d’enforcement en présence d’indices signalant une potentielle violation du droit de la surveillance. Si elle présumait une violation de ce droit et que l’ordre légal ne pouvait être rétabli autrement, elle a ouvert une procédure d’enforcement.
La FINMA a procédé à des dénonciations pénales lors de violations au droit de la surveillance, notamment en matière d’obligation de communiquer selon l’art. 9 LBA ou lors de l’exercice d’une activité sans l’autorisation requise.